Nous produisons ce que nous vendons

Il serait plus exact de dire nous vendons ce que nous élevons.

Pourquoi parler d’élevage ? C’est un terme qui, en français, est réservé aux animaux.

Remarque : En anglais le verbe breeding (élever) est couramment utilisé. Souvent lorsque l’agriculteur sélectionne et multiplie les semences qu’il vend.

Parler d’élevage de semences permet de souligner la relation qui lie l’agriculteur sélectionneur et la(les) plante(s) qu’il a choisi de cultiver. 

On pourrait se poser la question : qui choisit qui ? N’est-ce pas plutôt la plante qui choisit son éleveur ?

Les semences que nous vendons sont donc le résultat d’une co-création. Une co-création qui  engage les agriculteurs que nous sommes, les plantes et tous les habitants de l’écosystème dans lequel ce petit monde évolue. C’est donc bien le résultat d’une « création » collective, d’un « faire ensemble ».

Ainsi, pour élever ces semences l’Aubépin mise sur les moyens suivants :

Deux sites situés à 3 km l’un de l’autre au nord de l’agglomération d’Angers sur les communes de Briollay et de Soucelles.

Nous travaillons aussi avec une poignée d’agriculteurs multiplicateurs qui se trouvent en Anjou (trois agriculteurs) , dans la Sarthe (un agriculteur) en Bourgogne (un agriculteur) et dans le Lauragais (un agriculteur).

Un atelier (hangar) sur la commune de Briollay regroupe toutes les machines nécessaires au tri des semences, à leur stockage et aux tests de germination voire aux tests sanitaires.

En 2020, l’entreprise a pu employer l’équivalent de trois temps plein sur l’année. Par ailleurs, l’essentiel de l’activité agricole se situe entre mars et décembre.

Notre pôle de vente en ligne est en pleine création au sein de nos locaux.

Pierre Dorand (responsable) et son fils Matthieu Dorand (responsable commercial) au commencement de L’aubépin !